Coucou,
Voici un protocole de remise en intégrité inspiré de celui de MKP, mais aussi adapté.
Ca peut paraitre surprenant mais il parait que ca marche.
Je l'imprimerai pour la réunion du 29 pour ceux qui seront présents et nous l'adapterons au besoin.
Gros bisous
Martine
PROTOCOLE DE REMISE EN INTÉGRITÉ
FEDERATION CREATION VIVANTE asbl.
Proposition, 22 mai 2013
But : Sécuriser la réunion.
Définition : La remise en intégrité est une marche à suivre pour être en intégrité face à ses engagements. Et pour pouvoir libérer des charges émotionnelles et être parfaitement présent à la réunion.
Concerne : Une charge émotionnelle que je porte vis-à-vis de moi-même, de quelqu’un, d’une situation ou de l’ASBL. Je ne sais pas être complètement présent à la réunion car ;
• Je ME remets en intégrité car je juge que je n’ai pas honoré un engagement ou que j’estime que mon comportement n’était pas adéquat.
• Je propose à QUELQU’UN de se remettre en intégrité par rapport à un engagement pris et que j’estime qu’il n’a pas respecté.
• J’ai besoin de libérer une charge vis-à-vis de quelqu’un ou plusieurs personnes ou institution qui m’empêche d’être à 100% présents.
Déroulement :
Après avoir ouvert le cercle. Chacun se regarde dans les yeux dans le silence. C’est à ce moment que l’on peut sentir si une clarification est nécessaire pour être 100% présent.
L’animateur de la réunion demande :
1. Est-ce que quelqu’un a besoin de se remettre en intégrité ?
• Si oui : Les personnes concernées s’avancent ou lèvent le bras. C’est le seul moment de la réunion ou le processus sera proposé. Chacun passe à tour de rôle.
• Enumération des faits
• Quelle action il pourrait faire pour se remettre en intégrité.
Action = fait simple, réalisable et mesurable dans le temps.
2. Est-ce que quelqu’un a besoin de proposer à une personne de se remettre en intégrité ?
• Est-ce que la personne reconnait qu’elle n’est pas en intégrité.
o Si non : pourquoi et c’est ok comme ça.
o Si oui : les faits : quelle action il pourrait faire pour se remettre en intégrité.
Action = fait simple, réalisable et mesurable dans le temps.
3. Est-ce que quelqu’un à une charge qui l’empêche d’être entièrement présent ?
Si oui :
• Une personne (A) s’avance
• Si c’est vis-à-vis d’une autre personne,
o la personne (B) s’avance également et elles se mettent face à face.
• Si c’est vis-à-vis de l’asbl,
o A choisi une personne (B) qui représentera symboliquement l’asbl.
o B peut refuser ce rôle.
• A tient un bâton vertical posé par terre sur le dessus, B tiens le bâton en-dessous.
• A et B peuvent choisir un garant de la bienveillance pour les soutenir, qui pourra poser sa main sur son épaule ou être simplement présent à ses côtés. L’accompagnant veillera à calmer les débordements émotionnels par sa présence. Cette personne ne peut en aucun cas intervenir.
• Une personne ou deux (C) s’avancent si elles se sentent l’aptitude à faciliter la clarification et veillent au bon déroulement du protocole.
C demande à A et B s’ils ont pris connaissance du protocole de remise en intégrité et sont d’accord de l’appliquer dans le respect et la bienveillance.
C dois savoir que :
Ceci peut-être dit avant que quelqu’un s’avance, éviter de le dire après car la personne A qui a une charge peut remonter dans son mental.
Se rappeler que nous sommes tous le miroir les uns des autres. Que chaque situation est là pour nous permettre de mieux nous connaitre et pour nous faire évoluer.
Se rappeler que l’autre est l’interrupteur qui a activé la blessure.
Se rappeler que dans chaque situation, chaque partie est créatrice et responsable de 50% du jeu mis en place.
Se rappeler que nous œuvrons tous pour un objectif noble et porteur de sens et que nos âmes se sont choisies pour évoluer et grandir ensemble.
C dit :
J’invite A à pouvoir se libérer des charges qui encombrent son cœur et lui souhaite de découvrir le cadeau.
J’invite B à écouter avec recul en mettant sa coque de protection. B gardera le silence jusqu’au bout en étant conscient que A fait un travail pour SE libérer d’une charge et être 100% présents.
C donne la parole à A qui ne sera pas interrompu. C guide et réoriente au besoin.
1. Les faits : A Relate brièvement la situation, sans interprétation ou jugement. C y veille.
2. Les jugements : la personne A énonce et montre (physiquement) tous les jugements qu’elle a sur la personne B ou la situation et ses interprétations. A peut pleurer, crier… le « tu… » est autorisé.
3. Les émotions : A ouvre son cœur et montre physiquement toutes les émotions qu’elle a.
C vérifie si la charge est bien évacuée et aide l’autre à la retirer énergétiquement si elle est encore présente dans son corps.
4. Les besoins : C demande à A s’il a un besoin à vis-à-vis de B pour être en harmonie.
B peut refuser
A peut exprimer ce dont il aurait eu besoin.
5. Cadeaux :
• Quel est la part qui m’appartient ?
• Qu’est-ce que B reflète chez moi ?
• En quoi les jugements que j’ai émis me renvoient à moi (investigation de Byron Katie + inversion)
• Quel est le cadeau ?
• En quoi on se ressemble ?
• …
C leur dit qu’ils peuvent terminer comme ils le souhaitent.